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faux diplômes

  • FAUX DIPLOMES NOUVEAU FLEAU MONDIAL?

    diplomes,diplômes,faux diplômes,faux diplomes,diplomeA l'approche des examens et concours, Sécuridoc fait actuellement une campagne d'information commerciale auprès des rectorats et des directeurs d'écoles.

    Selon Christophe Naudin, criminologue à Université Paris II « La fraude documentaire est la mère de toutes les fraudes », cela s'applique également aux faux diplômes dont l'industrie est florissante.

    En France, les médias ne relaient que les faits les plus marquants et récents de faux diplômés.En fait, il n' y a qu'une très faible prise de conscience du phénomène, et avec la Belgique, nous sommes en Europe, les pays qui contrôlent le moins l’exactitude des diplômes, ce qui empêche des estimations justes.

    Certains pays, comme Israël ou les Etats-Unis, ont fait des investigations officielles sur les « faux diplômes » et les « usines à diplômes ». Le FBI, avec une estimation de 2 millions de faux diplômes dans le pays, a même créé une division spéciale nommée DipScan. Une investigation a démontré que sur un échantillon de 463 employés du gouvernement fédéral, 28 avaient des faux diplômes. En France, selon une étude du cabinet Florian Mantione Institut sur les "CV trompeurs" auprès de 500 entreprises et 1100 candidats, 36% d’entre eux mentent sur leurs diplômes, sans avoir forcément à produire de faux documents.

    La présence de faux diplômes a de profondes répercussions, elle jette notamment la suspicion sur les diplômes dans leur ensemble et peut entrainer une dépréciation injustifiée du système éducatif d’un pays ou d’une école. Mais les premières victimes sont bien entendu les élèves diplômés pour concurrence déloyale.

    Sécuridoc propose des sécurités « fortes », hors de portée des 800 « usines à diplômes » (estimation 2007 de l’Agence suédoise de l’enseignement supérieur) dans le monde, qui ont donné aux hologrammes, filigranes, parfaitement imitables à faible coût ou à la guilloche, utilisée seule, une réputation de sécurités « trompe l’œil » et « cosmétiques ».

    Le chiffre d'affaire moyen d'une "usine à diplômes" est de 20 millions de dollars américains selon une étude de C.Bahur datant de 2007. Ce marché potentiel de 16 milliards de dollars est équivalent à celui de la Traduction dans le monde ou à celui des solutions d'amélioration du traitement de l'eau.

    L'objectif "zéro faux diplômes" est une utopie au même titre que la théorie du "zero papier" apparue au début des années 90 et abandonnée, jugée irréaliste, et ce pour des raisons assez semblables:

    -Le coût prohibitif de l'ensemble des mécanismes.

    -Un état anxiogéne sur l'ensemble du système éducatif, généré par la suspicion, qui dépasserait en conséquences les méfaits des faux diplômes.

    La solution la plus économique et la plus appropriée semble être une "normalisation" mondiale des diplômes en version papier, véritables passeports pour l'emploi mais aussi pour résider dans un pays étranger, sachant que cet objectif est très difficilement atteignable. Il appartient donc à chaque état, et chaque école, de se prémunir pour protéger son capital éducatif,  avec des diplômes intégrant des éléments de réelle sureté, comme le propose Sécuridoc

     

     

  • FAUX DIPLOMES NOUVEAU FLEAU MONDIAL?

    diplomes,diplômes,faux diplômes,faux diplomes,diplomeA l'approche des examens et concours, Sécuridoc fait actuellement une campagne d'information commerciale auprès des rectorats et des directeurs d'écoles.

    Selon Christophe Naudin, criminologue à Université Paris II « La fraude documentaire est la mère de toutes les fraudes », cela s'applique également aux faux diplômes dont l'industrie est florissante.

    En France, les médias ne relaient que les faits les plus marquants et récents de faux diplômés.En fait, il n' y a qu'une très faible prise de conscience du phénomène, et avec la Belgique, nous sommes en Europe, les pays qui contrôlent le moins l’exactitude des diplômes, ce qui empêche des estimations justes.

    Certains pays, comme Israël ou les Etats-Unis, ont fait des investigations officielles sur les « faux diplômes » et les « usines à diplômes ». Le FBI, avec une estimation de 2 millions de faux diplômes dans le pays, a même créé une division spéciale nommée DipScan. Une investigation a démontré que sur un échantillon de 463 employés du gouvernement fédéral, 28 avaient des faux diplômes. En France, selon une étude du cabinet Florian Mantione Institut sur les "CV trompeurs" auprès de 500 entreprises et 1100 candidats, 36% d’entre eux mentent sur leurs diplômes, sans avoir forcément à produire de faux documents.

    La présence de faux diplômes a de profondes répercussions, elle jette notamment la suspicion sur les diplômes dans leur ensemble et peut entrainer une dépréciation injustifiée du système éducatif d’un pays ou d’une école. Mais les premières victimes sont bien entendu les élèves diplômés pour concurrence déloyale.

    Sécuridoc propose des sécurités « fortes », hors de portée des 800 « usines à diplômes » (estimation 2007 de l’Agence suédoise de l’enseignement supérieur) dans le monde, qui ont donné aux hologrammes, filigranes, parfaitement imitables à faible coût ou à la guilloche, utilisée seule, une réputation de sécurités « trompe l’œil » et « cosmétiques ».

    Le chiffre d'affaire moyen d'une "usine à diplômes" est de 20 millions de dollars américains selon une étude de C.Bahur datant de 2007. Ce marché potentiel de 16 milliards de dollars est équivalent à celui de la Traduction dans le monde ou à celui des solutions d'amélioration du traitement de l'eau.

    L'objectif "zéro faux diplômes" est une utopie au même titre que la théorie du "zero papier" apparue au début des années 90 et abandonnée, jugée irréaliste, et ce pour des raisons assez semblables:

    -Le coût prohibitif de l'ensemble des mécanismes.

    -Un état anxiogéne sur l'ensemble du système éducatif, généré par la suspicion, qui dépasserait en conséquences les méfaits des faux diplômes.

    La solution la plus économique et la plus appropriée semble être une "normalisation" mondiale des diplômes en version papier, véritables passeports pour l'emploi mais aussi pour résider dans un pays étranger, sachant que cet objectif est très difficilement atteignable. Il appartient donc à chaque état, et chaque école, de se prémunir pour protéger son capital éducatif,  avec des diplômes intégrant des éléments de réelle sureté, comme le propose Sécuridoc